Le rapport sur l’état de la pauvreté au N-B démontre un grand besoin
Fredericton– Aujourd’hui, la Société d’inclusion économique et sociale a publié son rapport sur le progrès de son programme de novembre 2009 à but de réduire la pauvreté au Nouveau-Brunswick. Le niveau de pauvreté entre 2009 et 2011 a été réduit grâce à l’augmentation à l’aide sociale et au salaire minimum, alors que les niveaux de pauvreté extrême ont grimpé un autre 5%.
« Les gains présentés dans ce rapport démontrent que pour alléger la pauvreté, il y a de la puissance dans l’augmentation des salaires, » explique David Coon, député de Fredericton-sud et chef du parti vert du Nouveau-Brunswick. « Bien que nous devons continuer à augmenter l’aide sociale et le salaire minimum afin de continuer l’élan à court temps, il est de toute importance que nous changions notre approche au système de manière fondamentale, il faut mettre en œuvre un revenu garanti pour tous. »
Le revenu de base garanti mesure un montant minimum permettant de satisfaire les besoins primaire des gens. Ceci assure que chaque foyer reçoit assez d’argent pour couvrir ces besoins. Un salaire suffisant fonctionne de manière similaire pour les travailleurs pauvres.
Pour ceux qui se retrouvent en pauvreté extrême, qui est directement lié au chômage, les maladies mentales, l’addiction et ceux qui vivent avec des handicapes sérieux, il faut plus d’approches afin de les aider.
« L’augmentation de ceux en pauvreté extrême me dit que nous ne sommes pas en train d’aider ceux qui sont les plus vulnérables, » exprime M. Coon. «Il faut que le gouvernement d’assurer un système de soins à la santé mental efficace et qu’il supporte des programmes comme Logement d’abord.
M. Coon a noté que le rapport ne mentionne pas les résultats après 2011 et il se demande si les progrès accomplis dans les deux premières années lors du programme pour réduire la pauvreté ne soient sapé pendant la durée des quatre ans. « Je suis connaissant des situations difficiles que font face certain de mes constituants : incapable de payer leur factures d’électricité après avoir payé leur loyer, ou avoir besoin de se nourrir à la cuisine communautaire afin d’avoir assez d’argent pour payer leur épiceries pour leurs enfants, » décrit M. Coon.
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