PÉRIODE DE QUESTION: Parlee Beach – 16 DÉCEMBRE 2016

Voici le vidéo et la transcription pour les questions orales, enregistrée dans la langue utilisée.

Mr. Coon: There has been much discussion in the media over the past weeks about the water
quality at Parlee Beach, Murray Beach, Cap Brûlé Beach, and Aboiteau Beach. The issue is not new, though. There are studies going back to 1999 that identified the sources of the contamination. The only thing that has happened since that time, really, is that the responsibility for monitoring the water quality was transferred from the Office of the Chief Medical Officer of Health to the Department of Tourism back in 2001. My question is for the Premier, because it is in his bailiwick: Will he return the responsibility for water quality monitoring for the beaches in Shediac Bay back to the Office of the Chief Medical Officer of Health from Tourism?

L’hon. M. Rousselle: J’aimerais remercier le député d’en face pour sa question. La qualité de l’eau à Parlee Beach, à vrai dire pour toutes les plages du Nouveau-Brunswick, est une préoccupation pour notre gouvernement. Effectivement, nous sommes très au courant de la préoccupation concernant la qualité de l’eau, particulièrement à Parlee Beach. C’est pourquoi notre gouvernement a mis sur pied un comité qui regroupe le ministère de la Santé, le ministère du Tourisme, du Patrimoine et de la Culture, le ministère de l’Environnement et des Gouvernements locaux et également le ministère de l’Agriculture, de l’Aquaculture et des Pêches, et qui aura pour tâche d’analyser toute la question. Donc, ce groupe de travail aura pour tâche de trouver les causes du problème que l’on retrouve sur cette plage entre autres. Vous pouvez être certain que d’ici le printemps prochain un rapport sera soumis et que des actions seront prises pour faire en sorte que des solutions soient trouvées pour ce joyau touristique de la province.

Mr. Speaker: Time, minister.

Mr. Coon: It is good to see that the minister is taking initiative on this issue. However, the fact remains that water quality monitoring remains with the Department of Tourism. In the election platform, the Premier committed to ensuring the independence of the medical officers of health. Here we are, halfway through the mandate, and it has still not been done. The fact that the beaches in Shediac Bay were not closed to swimmers despite high levels of fecal contamination last summer is a perfect example of why the Chief Medical Officer must be independent. The question is: When will the Premier table a bill to give the medical officers of health the independence from government that he promised?

L’hon. M. Rousselle: Encore une fois, je veux remercier le député pour sa question. Ici, je veux préciser une chose : La personne qui prend une échantillon d’eau n’est pas nécessairement celle qui en fait l’analyse. Selon ma compréhension, l’analyse se fait par le ministère de la Santé. Donc, il ne faut pas ici mélanger le fait qu’un organisme qui collige l’échantillons est celui qui en fait l’analyse. Cela étant dit, il faut savoir que, à titre de participants au groupe de travail que nous avons formé, les gens du ministère de la Santé vont se pencher sur le développement d’un nouveau processus de surveillance de la qualité de l’eau sur les lieux récréatifs. De plus, nous allons étudier les différentes méthodes utilisées dans les autres provinces, afin d’améliorer la situation. C’est dans cette optique-là que nous travaillons afin de nous assurer que nos plages sont de beaux endroits touristiques pour notre province et sécuritaires pour la baignade.

Mr. Coon: In addition to wanting to have the problem cleaned up finally, when government
after government after government has failed to do so, the people of this province want to know one thing. Next summer, if the acceptable limits are again exceeded at those beaches on Shediac Bay, can the Premier assure us that those beaches will be closed to swimmers when it is warranted?

L’hon. M. Rousselle: Comme je l’ai expliqué tout à l’heure, un comité de travail va regarder aux sources de cette pollution afin de trouver des solutions concrètes. Notre but n’est pas de
fermer la plage, mais de trouver des solutions. Notre gouvernement est conscient du défi rattaché à un problème qui existe depuis plusieurs années. Vers 1998, si je me rappelle bien, un groupe de travail avait établi un processus pour indiquer quand il y avait un problème avec les eaux de la plage. Comme on nous indique qu’il y encore des problèmes sur cette plage, cela veut dire qu’aucune solution n’a encore été trouvée. Donc, nous nous engageons à agir. Nous avons déjà mis sur pied un groupe de travail, car nous
voulons trouver les sources de cette pollution afin de s’assurer que, dès l’été prochain, les gens pourront utiliser ces différentes plages de la province